Je vous souhaite la Bienvenue.

Et un très bon Dimanche

Aujourd'hui Dimanche

Aujourd'hui Dimanche je me promène dans les bois, sur les bords de mon chemin poussent de belles petites fleurs dont je connais bien le nom.

Peut-être que si j'étais sur internet, je cliquerais sur l'image pour l'agrandir mais ici je n'ose les cueillir.

Je les regarde et je passe juste à côté continuant mon chemin.

Pendant ma promenade, au début je marchais de façon régulière mais je ne pus résister au fil des heures d'accélérer l'allure.

Pressant le pas sur mon chemin que je connaissais bien, tout à coup sur ma gauche il n'y avait plus de forêt ! Mais qu'ont-ils fait de la forêt?

Les dernières nouvelles ne sont pas parvenues  jusqu'à moi! Et qui serait venu m'en parler?

Je fus très surprise, alors sur le point de partir, je me ravisais, et n'y aurait-il personne pour me renseigner?

D'un coup d'oeil, d'un regard projeté je ne vis personne à l'horizon.

Tant pis je reviendrais samedi après-midi!

Il faudra coûte que coûte savoir ce qui se passe en ce lieu!

Mais dans la semaine, en ouvrant une page Web sur Google, je lis que le maire et ses adjoints ont tout simplement accepté, mais pas toujours, de faire quelques vidéos avec VEFBLOG.

Ouf! Je fus soulagé de savoir qu'un joli parc allait se dessiner à cet endroit de la forêt.

et en accompagnement de ce texte fait à l'impromptu, un très bon groupe:

Scotch de   1986  Mirage.

https://www.youtube.com/watch?v=eBsT6Cj-aew

dimanche, 25 août 2013

Toute ressemblance de près ou de loin avec d'autres personnes est purement fortuite, et indépendant de ma volonté et pur hasard.

D'avance je m'en excuse.

Qui est Marie-Thérèse Trémaud?

Sa vie prend naissance en Saône et Loire où elle est née le 5 Mai 1762 à Balas et elle vécut dans cette région jusqu’en 1773.
Retraçons l’histoire de cette jeune femme et voyons les circonstances qui l’ont amenée à vivre au bord des belles rives du Doubs entourant Besançon avec ses grands-parents.
Madame Trémaud Léonce, la mère de Marie-Thérèse, veuve s’occupa seule de sa fille.
Un beau matin du mois de Mai, alors que le soleil dardait depuis un moment déjà, la petite Marie-Thérèse, en entrant dans la cuisine, eut la surprise de ne pas trouver sa mère en train de lui préparer son petit déjeuner, le poêle n’était pas allumé et les volets n’étaient pas ouverts. Aussitôt, la fillette se mit à appeler sa mère.
- Maman, maman, où es tu? 
N’ayant pas de réponse, elle monta dans la chambre, appela sa maman et attendit la réplique, mais il n’y eut pas d’échos à ses appels.
Ouvrant la porte de la chambre, elle vit sa mère qui dormait encore. Elle la réveilla en lui parlant doucement :
- Maman, maman, réveille-toi, il est l’heure! Allons maman, lève toi, viens allumer le feu, s’il te plait vient me faire mon petit déjeuner, dit Marie Thérèse à sa mère, j’ai faim!
La maman ne dit pas un mot à la fillette, celle-ci dévala alors l’escalier tout en pleurant.
Elle courut chez sa voisine, madame Bertin.
En entendant frapper à la porte, madame Bertin vit la fillette toute en larmes.
- Mais que se passe t-il, pourquoi tout ce chagrin, lui demande t-elle?
- Madame Bertin, venez, venez vite à la maison s’il vous plait, maman ne veut pas se lever, je l’appelle mais elle ne me répond pas!
- Allons, viens vers moi et raconte moi tout, ne pleure plus ce n’est rien, tient prend ce mouchoir et sèche tes larmes!
Je viens voir ta maman et nous l’aiderons à se lever, veux-tu, dit-elle à la fillette, interloquée?
Sur un ton de supplique :
- Oui, madame mais venez vite!
En entrant dans la chambre, Madame Bertin se trouva décontenancée en voyant la jeune femme qui effectivement est encore couchée; inerte sur son lit et aucune parole ne sortit de sa bouche quand celle-ci l’appela.
Madame Bertin descendit dans la cuisine, prit le seau, versa un peu d’eau dans une cuvette et trempa le coin d’une serviette dedans.
Aussi vite, elle remonta pour badigeonner tout doucement la serviette sur le front de Léonce Trémaud.
- Allons mon amie, allez Léonce écoute-moi, réveille-toi, ta petite te réclame lui dit-elle!

Mais rien n’y fit, elle ne put que constater l’immobilité de la jeune  femme qui ne bronchait pas non plus.
Il ne fallut que quelques secondes à Madame Bertin pour réaliser toute la gravité de la situation et elle prit une résolution décisive.
 Se tournant vers la fillette, elle lui dit :
- Bon, viens avec moi, nous rentrons à la maison et nous avertirons le médecin, pour qu’il vienne ausculter ta maman et lui prescrire des médicaments qui la guériront!
- Mais madame, je ne veux pas laisser ma maman toute seule, elle peut avoir besoin de moi et je ne serais pas là pour l’aider!
- Pour l’instant nous laisserons ta maman se reposer tranquillement!
Pendant que tu mangeras ton petit déjeuner que je vais te préparer, nous attendrons le médecin veux-tu?
- Oh oui madame je veux bien et aussi j’ai très faim vous savez!
Mais pourquoi maman ne veut pas se lever ce matin? Est-ce qu’elle ne veux plus s’occuper de moi?
La voisine lui répond :
- Oh, tu sais, je pense que ta maman est juste un peu fatiguée, laissons-la dormir encore un peu! Tu es d’accord?
- Oui, elle doit se reposer, c’est vrai qu’elle est très fatiguée! Tout cet hiver, elle n’a fait que tousser. Et elle me répète tous les jours qu’elle n’a plus la force d’allumer le feu, elle me dit que la préparation des repas est très pénible, depuis quelques jours, elle ne fais plus le ménage, elle est tellement essoufflée qu’elle ne lave plus le linge. La nuit, je l’entends bien, elle tousse très fort!

A Suivre....